Revue de presse / Suzanne Dracius (extraits)

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 La seule femme à figurer parmi les « 10 écrivains martiniquais qui ont marqué l’histoire de la littérature » et « ont contribué à faire rayonner la littérature martiniquaise dans le monde entier », n°6 de ces « dix auteurs […] incontournables dans le paysage culturel martiniquais » (Top 10 de Mediaphore )

 Nommée en premier, en tête des « femmes écrivains des Antilles et de la Guyane […] à nous offrir des textes d’une grande beauté […] en ayant comme préoccupation première ce qu’on pourrait appeler "le bien-écrire", comme on peut le voir chez Suzanne DRACIUS » (Montray Kréyol )

 « Indéniablement elle est l’une des grandes voix de la littérature des Antilles françaises ». (Cultures Sud/TV5 Monde.)

« Incontestablement l’une des voix féminines les plus importantes des Antilles ». (J-P Piriou, The French Review, USA.)

 « Suzanne Dracius est à la littérature francophone ce que Rosa Parks est au mouvement des droits civiques aux États-Unis ». (Pr Abderrahmane Baibeche, Université de Porto Rico .)

« Dans une hybridité éblouissante, Suzanne Dracius danse avec les identités raciales, sociales, sexuelles et linguistiques, rapprochant des saveurs et des figures de rhétorique solides issues du latin et du grec, du français et du créole, stigmatisant les catégories et les -ismes, célébrant triomphalement sa créolité franche tout au long de ce radieux recueil de poèmes aux mots denses et au jeu sonique. La rhétorique, ici, a des racines antiques ; mais les figures et les questions sont contemporaines, puissantes, captivantes, prégnantes et profondes. » (Sydney Wade, USA.)

« Comment pouvons-nous résister au livre ensorcelant de Suzanne Dracius, ses vers de sortilège, ses chansons magnifiques de l’histoire coloniale douloureuse des Caraïbes, l’horreur transformée en beauté ? Nous sommes émerveillés de façon délirante en voyant comme le français, le créole et le latin coulent et découlent abondamment l’un de l’autre, ce qu’elle pourrait appeler une poétique “de l’indépendance, la cadence et la danse”. Héritière de Franz Fanon et Aimé Césaire, Kamau Brathwaite et Lorna Goodison aussi, Dracius de la Martinique est un griot féroce qui célèbre la “fête des saveurs métisses”, un Caliban qui chante de ses Antilles le “métissage fervent”. Nous sommes impressionnés par l’acuité intellectuelle de Dracius, la vitesse à laquelle le mythique s’intègre dans le quotidien, et ensuite de nouveau, l’espièglerie harmonieuse de ses pastiches du français créole et du gréco-romain. […] Une poète formidable. » (Orlando Ricardo Menes, USA.)

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